Posted by Olivier Manceron on 20 Mar 2020 in Tribunes Libres
Le feu a pris à la planète. La folie humaine confine au désespoir. La mort frappe aux portes et monte les escaliers. L’Un a peur de l’Autre. Celle-là devant celle-ci s’enfuit. La peste coronale nous attaque au profond de notre « précieux », notre humanité. Nous qui aimons par-dessus tout, les relations, les bisous, les contacts, les caresses, les rapports, les embrassades, les câlins, les accolades, les liens, les baise-mains, les tapes amicales et les franches poignées de main, nous voilà frustrés à mort… enfin dans l’essentiel de nos vies.