Faire un théâtre nouveau, résolument contemporain : telle est l'ambition affichée de Nicolas Barry, jeune auteur et metteur en scène de "Débris", la pièce qui a été présentée en création samedi 12 janvier 2013 au centre culturel de Coye-la-Forêt.
« Notre rôle, dit-il, est de changer le théâtre en étant les éponges d'un monde qui change [...] Notre démarche est de refuser les évidences, elles sont les pièges de la pensée, de refuser tout conformisme, tout déjà vu, de refuser la complaisance et le confort. »
L'évidence au théâtre serait d'éclairer la scène pour que les acteurs soient visibles, le conformisme serait de les faire parler l'un après l'autre pour qu'on les entende, le plaisant serait de raconter une histoire et de dérouler une trame narrative clairement compréhensible. Mais le spectateur est prévenu, il ne sera pas dans ce confort-là, il sera dérangé dans ses habitudes, il lui faudra mettre en sourdine sa rationalité et son entendement pour laisser plus de place à ses sensations et à ses émotions. C'est ainsi qu'à la sortie, certains pouvaient exprimer tout à la fois leur perplexité (" je n'ai rien compris ") et leur satisfaction (" mais j'ai beaucoup aimé "). C'est qu'indéniablement ils venaient de voir un vrai spectacle enthousiasmant, mais pour le moins déroutant.
LES CHOIX STRATÉGIQUES DE L'AMÉNAGEMENT DU CENTRE VILLE
Commerce Artisanat Marché, Urbanisme, logement, voirieRencontre avec Alain Mariage, conseiller municipal d’opposition


Ça y est, je l’ai !
Il y avait un moment que j’en entendais parler. Mes amis disaient : Moi, j’en ai eu une samedi pendant que j’allais acheter le pain. Un autre : dès que je suis sortie de chez le coiffeur, je l’ai vue sur mon pare-brise, elle y était ! Avant de venir déjeuner à Coye, un ami senlisien s’est arrêté au bureau de tabac, eh bien il a même réussi à en gagner une. Dans ton bled, on ne plaisante pas, m’a-t-il dit en riant, je reviendrai.
Je me disais : Mais comment ça se fait ? Moi je n’en ai pas. Pour un peu j’aurais soupçonné les copains de bluffer, et pourtant il fallait bien que je me rende à l’évidence. C’était un raz-de-marée…. Plus un seul timbre à 17 euros au Régent! Faut carrément aller chez le buraliste de Lamorlaye ou d’Orry, car là-bas ils ont un stock, ils en vendent peu.
Donc, je me suis dit : Ça finira bien par arriver. Et ça n’a pas manqué.
Dimanche 25 novembre 2012


du mercredi 17 au mardi 23 octobre 2012
Samedi 13 octobre 2012
Pour la programmation des Mots en l’Aire, les bibliothécaires de l’Aire cantilienne ont choisi cette année les chemins du rêve et de l’imaginaire A Coye-la-forêt, Agnès Bouchard a invité un illustrateur pour animer un atelier destiné aux enfants. Lionel Brouck est dessinateur de presse et ses créations illustrent les ouvrages pédagogiques des éditions PEMF. « Rêve », son premier album pour enfants sur un scénario d’Emilie Malfet, aux Editions Grafouniages – http://grafouniages.free.fr – était donc le meilleur choix pour cette journée, point d’appui pour quelques heures où le crayon a toute liberté de tracer les contours des rêves… et des cauchemars.
Du 6 au 31 octobre 2012L’exposition n’est pas une avant-première du Salon des Beaux-arts. Pas de catalogue, pas de projecteurs ni d’installation particulière. Juste quelques toiles d’un homme qui se promène dans Coye, qui regarde les autres et qui aime peindre. Il choisit des visages qui lui parlent. Comme c’est un habitué de la bibliothèque, Agnès Bouchard lui a offert d’exposer ses toiles à côté des livres, là où il y a un peu de place. Et les lecteurs en visite, nous avons été ravis. D’abord de découvrir ces portraits de gens de Coye que nous rencontrons souvent : visages d’enfants, l’œil bleu et pétillant de monsieur le maire, la force des traits de monsieur Dhuicque… Un monde qui nous est familier, revu par le peintre.
Ravis ensuite de rencontrer le peintre. De faire connaissance avec un homme qui montre pour la première fois ce qu’il crée, tout simplement.
Bonjour,
Je vous envoie ce message car je viens de recevoir pour la première fois (depuis mon arrivée à Coye en mars 2011) ma taxe d'habitation.
Pour information, je suis locataire avec ma compagne d'un appartement de 83m² à la résidence du bois et paye un loyer de 908€ (sans les charges) et nous nous retrouvons à devoir payer une taxe d'habitation de 1 409€ (sans la redevance), montant que nous trouvons très élevé !
A chaque fois nous avions eu l'habitude de payer une taxe d'habitation d'un montant équivalent à celui de notre loyer, c'est pour ça que je tiens à vous faire part de mon étonnement.
En recherchant un peu, j'ai trouvé un montant moyen de cette taxe de 768€ par foyer en 2009 à Coye-la-Forêt (source : http://www.nosimpots.fr/), c'est pourquoi je m'étonne d'autant plus d'avoir un montant qui s'approche du double sachant que notre commune ne manque pas d'habitations qui sont à mon avis d'un standing bien supérieur à la nôtre.
Je voulais donc savoir si le montant de notre taxe d'habitation était normal avant de la payer (et éventuellement aller la contester par la suite).
Sincères salutations,
Réunion publique du samedi 6 octobre 2012
C’est logique ! Puisqu’on doit parler voitures, parking et circulation, il faut bien, en illustration, des voitures. Les voitures, donc, étaient présentes le samedi matin 6 octobre aux abords du Centre culturel : parkings pleins, rue saturée de stationnements, difficultés de croisement… conditions favorables pour légitimer la réunion publique organisée par la mairie sur le thème : « Le schéma de circulation mis à l’essai depuis le 12 mars ». Monsieur le Maire accueillait ses administrés automobilistes en salle 3, en présence de nombreux conseillers municipaux et secondé par les adjoints concernés par le sujet, Maurice Erard, délégué à la voirie et à la circulation, et François Deshayes, délégué au commerce et à l’artisanat. Ecran et vidéo projecteur, micro… toutes conditions matérielles réunies pour que l’exposé soit clair et les interventions audibles.
Fluidifier et ralentirEn introduction, Philippe Vernier précise le sens de la réunion : un échange d’opinions entre la municipalité et les habitants sur le schéma de circulation mis à l’essai depuis mars. Aucune décision n’est encore prise. Il s’agit de faire le point sur les avantages et les inconvénients de cette innovation. Maurice Erard rappelle que, malgré les « quilles » déjà installées pour faciliter les croisements de véhicules, les embouteillages restaient fréquents dans la Grande rue, gênants pour les automobilistes et défavorables aux commerçants.
JOURNEE DES ASSOCIATIONS
Samedi 8 septembre 2012
Il y avait déjà quelques jours que des indices se repéraient… La fraîcheur des matins, les parents autour des écoles, les cris d’enfants sur la place, une cloche qui tinte aux Trois Châteaux… Il ne manquait plus que le forum des associations pour sonner la semaine de rentrée et… remplir la rue d’Hérivaux. Cette journée d’inscription est toujours joyeuse, on se retrouve, on bavarde, on fait des projets, on écoute ses envies. Le village, somnolent dans la semaine, est bien réveillé. On sort de chez soi pour rencontrer les autres.
Toute la journée se sont succédé au Centre culturel, devant une trentaine de stands, ceux qui, débordant d’énergie et d’idées après l’été, ont décidé d’occuper intelligemment leurs loisirs. Le choix est large. D’abord objectif santé : le sport est roi, sous toutes ses formes – honneur au plus ancien club de Coye, le Football club qui fête ses 90 ans ! On vous propose 36 façons de marcher, de courir, de sauter, d’entretenir souplesse, agilité et vivacité… Basket, tennis, gym, escalade, marche, danse, arts martiaux…. Pas d’excuse donc si vous ne prenez pas soin de vos articulations et de votre musculature. Mais vous avez le droit de préférer les rencontres détendues autour du scrabble, de la belote ou du tarot … Et si votre inclination vous porte à l’observation de la nature, le PNR et la Sylve vous serviront de guides éclairés. Quant aux activités artistiques, Coye-la-forêt n’en manque pas, musique, théâtre, peinture, art floral, tissage… C’est l’abondance ! Reste à tenir compte du budget : certains loisirs sont très abordables, comme la marche ou la gymnastique ; d’autres le sont moins. Même si les bénévoles font vivre et gèrent les associations, les cours sont le plus souvent assurés par des professionnels, ce qui explique les coûts.
Alors faites le bon choix et… joyeuse année associative !
Pour son 6e festival ÉCLATS D’ORGUES, qui aura lieu du 6 au 14 octobre,l’association NOTe (Nouvelles orgues en Thève) propose des concerts pour tous les publics : jeunes et adultes, mélomanes avertis et néophytes, tous vous êtes conviés à ce précieux moment.
Ciné-concert, conte musical, concert aubade, messe chantée, concerts où l’orgue s’associe à d’autres instruments, ce sera la palette contrastée et colorée de cette édition 2012.
Les organistes Marc Adamczewski, Philippe Bardon, Philippe Brandeis, Patrick Delabre, Eric Lebrun, le duo Orgelsax, le trio Not’àMots, tous auront à cœur de faire chatoyer les nuances et les éclats lumineux de l’orgue magnifique de Coye inauguré en 2006.
Et, cette année, le dimanche 7 octobre, NOTe se réjouit d’inviter à la fête l’orgue historique remarquable de Précy-sur-Oise construit en 1861. Le duo Orgelsax y donnera un concert à 17h.
L’association La Sylve se joint à NOTe pour proposer une balade le dimanche 14 octobre « D’un château à l’autre ».
Plusieurs manifestations sont libres d’entrée.
Tout le programme à télécharger se trouve sur le site www.notecoye.org
Tel renseignements et réservations: 01 30 34 73 48