Sous le charme d’un conte
Ils étaient là, les petits, les plus grands, venus écouter le conte musical Hansel et Gretel, tout au long des huit séances données les 6 et 7 octobre en l’église de Coye-la-Forêt.
Ils venaient des écoles de l’Aire cantilienne, mais aussi de Boran et Senlis. Plus de 450 élèves attentifs et bien étonnés…
La caméra de Martine a fait merveille montrant le bel orgue, le jeu des musiciens, de charmantes illustrations, l’intérieur de l’orgue, territoire inconnu : ne s’y cache-t-il pas un oiseau, des clochettes, toute une forêt de minuscules flûtes ? N’est-il pas capable de pleurer de chagrin comme un enfant terrifié ou de gronder furieusement comme la sorcière ?
Le conte des Grimm lui-même est une merveille, riche de symboles et d’interprétations : Patricia, du trio Not’àMots a choisi ses mots pour son public, tandis que s’est déployée en contrepoint la musique de Humperdinck, subtile et puissante : on y était, on voyait, on ressentait la misère, la nuit, le sommeil, la faim, la peur, la joie des retrouvailles et la présence amie des beaux oiseaux blancs.
Ils venaient des écoles de l’Aire cantilienne, mais aussi de Boran et Senlis. Plus de 450 élèves attentifs et bien étonnés…
La caméra de Martine a fait merveille montrant le bel orgue, le jeu des musiciens, de charmantes illustrations, l’intérieur de l’orgue, territoire inconnu : ne s’y cache-t-il pas un oiseau, des clochettes, toute une forêt de minuscules flûtes ? N’est-il pas capable de pleurer de chagrin comme un enfant terrifié ou de gronder furieusement comme la sorcière ?
Le conte des Grimm lui-même est une merveille, riche de symboles et d’interprétations : Patricia, du trio Not’àMots a choisi ses mots pour son public, tandis que s’est déployée en contrepoint la musique de Humperdinck, subtile et puissante : on y était, on voyait, on ressentait la misère, la nuit, le sommeil, la faim, la peur, la joie des retrouvailles et la présence amie des beaux oiseaux blancs.
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