Ela couru...
Le relais, long de 15 kilomètres symbolisant les 15 ans d'existence de l'association ELA, clôturait les actions menées par les élèves des deux écoles de Coye, en faveur d'ELA. Un grand bravo à tous ces enfants qui se sont investis et mobilisés et qui, grâce à la générosité des Coyens, ont ainsi récolté à ce jour plus de 2400 euros. Cette somme sera intégralement reversée à l'association ELA.
Dans les rues de Coye, les enfants courent…
Vendredi 20 novembre, dès 9 heures, attroupement devant l’école du Centre pour ELA. Une grande banderole bleue devant l’église annonce : Mets tes baskets et bats la maladie. Comme plus de deux millions de jeunes, les enfants de Coye se sont mobilisés depuis le mois de septembre en faveur de cette association qui s’engage pour combattre les leucodystrophies.
Dans ce cadre, ils ont déjà fait une dictée et réussi une belle collecte parmi les habitants de Coye. Par le sport et leurs efforts dans une épreuve d’endurance, ils manifestent leur solidarité.
Pour l’occasion, Madame l’adjointe au maire, Sophie Descamps, est présente. Elle veillera au ravitaillement. Bernard Varon, conseiller municipal, est le reporter photographe. Stéphane, le moniteur d’éducation physique, et les enseignants, Véronique Uzan et Patricia Berqué, forment les équipes devant l’école, distribuent des dossarts autocollants. Les parents d’élèves sont équipés de gilets fluorescents, et les enfants ont, bien sûr, les baskets aux pieds. Sept classes participent, de CE2, CM1 et CM2, des deux écoles primaires de Coye. Les enfants sont groupés par niveau pour cette course-relais d’endurance à laquelle ils se sont entraînés pendant plusieurs semaines et dont la boucle parcourt les rues du village sur trois kilomètres. Le départ de la première équipe est donné devant l’école du centre, elle traverse la grand rue sous les vivats de ceux qui attendent de prendre le départ ; d’autres groupes assureront le relais plus loin au carrefour des Bruyères, à l’école des Bruyères, passeront par la forêt, le vieux chemin de Paris, la rue Blanche, pour revenir à l’école du Centre. Il fait beau et les quelques passants qui partent faire des courses à cette heure matinale s’arrêtent, applaudissent et encouragent. Pour assurer la sécurité des coureurs, la voiture du policier municipal Stéphane Ramirez ouvre la route et près de 40 parents d’élèves sont mobilisés pour suivre la course à vélo ou se tenir aux différents points stratégiques. On attend les coureurs en papotant, on surveille les voitures, on se régale d’un café bienvenu, on encourage, on prête main-forte aux essoufflés…
Pour l’occasion, Madame l’adjointe au maire, Sophie Descamps, est présente. Elle veillera au ravitaillement. Bernard Varon, conseiller municipal, est le reporter photographe. Stéphane, le moniteur d’éducation physique, et les enseignants, Véronique Uzan et Patricia Berqué, forment les équipes devant l’école, distribuent des dossarts autocollants. Les parents d’élèves sont équipés de gilets fluorescents, et les enfants ont, bien sûr, les baskets aux pieds. Sept classes participent, de CE2, CM1 et CM2, des deux écoles primaires de Coye. Les enfants sont groupés par niveau pour cette course-relais d’endurance à laquelle ils se sont entraînés pendant plusieurs semaines et dont la boucle parcourt les rues du village sur trois kilomètres. Le départ de la première équipe est donné devant l’école du centre, elle traverse la grand rue sous les vivats de ceux qui attendent de prendre le départ ; d’autres groupes assureront le relais plus loin au carrefour des Bruyères, à l’école des Bruyères, passeront par la forêt, le vieux chemin de Paris, la rue Blanche, pour revenir à l’école du Centre. Il fait beau et les quelques passants qui partent faire des courses à cette heure matinale s’arrêtent, applaudissent et encouragent. Pour assurer la sécurité des coureurs, la voiture du policier municipal Stéphane Ramirez ouvre la route et près de 40 parents d’élèves sont mobilisés pour suivre la course à vélo ou se tenir aux différents points stratégiques. On attend les coureurs en papotant, on surveille les voitures, on se régale d’un café bienvenu, on encourage, on prête main-forte aux essoufflés…
Après la course, le visage bien rouge, la sueur au front, les enfants apprécient l’herbe sur le trottoir ou l’appui d’un tronc d’un arbre. Félicités par leurs enseignants, ils prennent ensuite le chemin du centre culturel pour un goûter de réconfort. Matinée réussie !
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