BILBO LE HOBBIT
D'après Tolkien
à travers un monde imaginaire, son monde, rempli de créatures plus étranges les unes que les autres. Bilbo, interprété par Richard Navarro, va donc partir à l'aventure, accompagné de treize nains et du magicien Gandalf. Guidé par ces derniers, il parvient à trouver le dragon et le tue. Ce n'est cependant qu'à la fin de la pièce qu'il trouvera le « trésor » et décidera de le partager avec ses amis, en l'occurrence le public, sous la forme de bonbons.
Cette pièce, véritable conte de fées, nous fait rêver du début à la fin. Les décors en bois, des malles empilées, servent de maison à notre petit Bilbo. Elles deviennent également des montagnes, des repères, des cavernes... Les costumes sont très réussis : modestes pour le Hobbit, extravagants pour les créatures fantastiques, plus particulièrement pour Golum, si laid et si drôle avec ses grandes oreilles, revêtu d’une peau nue qui rappelle celle d’un chat sans poils.
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2 commentaires
Commentaire de: Alain Mariage Membre
Commentaire de: Jacqueline Chevallier Membre
Le spectacle a très vite affiché complet, forcément sur un sujet aussi prometteur.
Nous nous sommes trouvés piégés et bernés. Ni Tolkien, l’auteur du “Seigneur des anneaux", ni les spectateurs (parents et enfants), ni le métier de comédien, ni le théâtre n’ont été épargnés. Ce n’était que vulgarité, bruit et fureur. Du jamais vu à Coye : des spectateurs ont quitté la salle, certains très vite, et ils avaient raison : au bout de cinq minutes, on savait que le gesticulateur là devant nous avec son micro qui ne lui tenait pas sur la tête, ne nous emmènerait nulle part, et certainement pas au pays des rêves et de la poésie.
Il arrive qu’on n’aime pas trop une pièce, qu’on critique ceci ou cela. Mais la programmation du festival est toujours de qualité et le spectateur est toujours respecté. Sauf hier. Je fréquente assidûment le festival depuis plus de vingt ans. Je n’ai jamais vu quelque chose de pareil. Ce spectacle était indigne du festival.


Pas d’accord, moi qui ai rêvé à la lecture de BILBO le Hobbit je me suis profondément ennuyé et endormi par sursauts à ce spectacle.
Non, le spectacle n’était pas bon… et le rêve n’y étais pas.