Pourquoi ont-ils choisi de s'engager à gauche? Parole aux colistiers
Venus d’horizons divers, à Coye depuis longtemps ou depuis peu, avec des parcours, des compétences, des centres d’intérêt différents, ces habitants de Coye-la-forêt ont décidé de se présenter aux élections municipales, de s’engager pour six ans à donner de leur temps aux affaires de la commune. Et ils ont choisi de dire clairement leur appartenance en se regroupant sur une liste de gauche autour d’Alain Mariage. Ce qui les réunit, c’est un désir de solidarité indispensable dans cette période difficile, pour que tous les habitants se sentent considérés, pris en compte ou accompagnés. Ils ont la forte conviction que les choix politiques dans la gestion d’une commune disent la considération des élus à l’égard de chaque citoyen.
Afin que les électeurs sachent quelle personne vit derrière chaque nom de la liste, les candidats ont choisi de se présenter personnellement.
Agé de 53 ans, marié et père de famille, je suis un Coyen de toujours.
Coye où ma famille est installée depuis les années 30 a toujours été au cœur de mes actions et très tôt j’ai baigné dans la vie locale. D’abord dans la trace de mes parents eux-mêmes très acteurs dans le monde municipal et associatif, puis par mes actions diverses au sein, entre autres, du Photo club, de la troupe de la Lucarne, du Festival Théâtral, des associations de parents d’élèves et enfin par mon action au sein du Conseil Municipal depuis treize ans.
Depuis treize ans en effet je suis conseiller municipal aux cotés de Dominique Ternaux et d’amis très chers comme Marie-Louise Barnier et Claude Domenech qui ont partagé notre aventure lors de notre premier mandat.
Depuis quelques années, je suis également Conseiller Communautaire et ai observé l’augmentation du poids de la place occupée par la communauté de communes dans notre vie de tous les jours, dans le fonctionnement général de notre village. Les compétences de son ressort sont de plus en plus nombreuses, la société évolue vite, les structures qui l’accompagnent également, d’où ma volonté première que Coye occupe la place qui est la sienne au sein de cette organisation territoriale et que celle-ci réponde, en plus de nos actions locales, aux besoins de la population.
Enfin je suis très content de vous présenter une nouvelle équipe dont les motivations ont elles aussi pour axe principal les valeurs communes que nous partageons, Citoyenneté – Solidarité et Démocratie.
38 ans,il était une fois, il y a bien longtemps, une petite famille d’immigrés espagnols, réfugiés républicains en exil fuyant le franquisme, qui arrivait à Coye-la-Forêt avec une valise en carton (véritable !). C’était mon père et ses parents, mes grands-parents catalans. Depuis, ma famille n’a pas quitté Coye et c’est avec un grand bonheur que je m’y suis installée personnellement dès que j’ai pu. Je sais que c’est un grand privilège car il n’est pas facile de trouver à se loger à Coye… Coyenne depuis toujours, donc, même si je me suis parfois installée ponctuellement ailleurs pour mes études ou mon travail, je suis très attachée à Coye-la-Forêt, à son environnement exceptionnel et à sa riche vie associative, à laquelle je participe activement et bénévolement depuis plus de vingt ans au sein de deux associations (le Théâtre de la Lucarne et le Festival théâtral de Coye). C’est un réel plaisir de participer à des projets collectifs qui aboutissent à de belles réalisations. Parce que les efforts communs et le partage de la réussite sont un perpétuel enrichissement mutuel. Professionnellement, j’ai débuté comme secrétaire générale de mairie dans un petit chef-lieu de canton, une année d’élections, et j’y ai beaucoup appris sur le fonctionnement d’une commune. Après un passage par l’Institut régional d’administration de Lille, j’ai ensuite intégré le ministère de la santé, où je suis revenue depuis deux ans. Entre temps, j’ai travaillé cinq ans à la direction générale des collectivités locales du ministère de l’intérieur, l’occasion là encore de m’intéresser de très près aux collectivités territoriales, à leurs compétences et à leur fonctionnement. A travers ma participation à la liste de gauche conduite par Alain Mariage, guidée par des valeurs de solidarité, de partage, de justice, de respect des citoyen(ne)s et de l’environnement, je souhaite pouvoir m’impliquer encore davantage dans la vie de Coye, au service de tous et tout particulièrement de ceux qui en ont le plus besoin, pour le bien-être et l’épanouissement de chacun.
54 ans bientôt 55, après un parcours professionnel diversifié : j'ai travaillé cinq ans pour une entreprise d'intérim, puis quatre ans dans des compagnies consulaires (Chambre de commerce) pour rejoindre l'AFPA, organisme de formation professionnelle, comme Directeur-Adjoint pendant cinq ans. J'ai quitté cette belle association de formation pour prendre la direction d'un centre pour personnes en situation de handicap pendant neuf ans, puis j'ai été directeur d'une Maison d'Enfant à Caractère Social pour l'association AGE. Par mutation, j'ai obtenu la direction du Domaine des Trois Châteaux que je dirige depuis 2008.
J'ai beaucoup travaillé pour le milieu associatif en étant président de la Jeune Chambre Economique (JCE) du Mans où j'ai participé à la création d'une banque alimentaire puis à la JCE de Cergy-Pontoise en 1989 et 1990. En 1997, j'ai participé à la création d'ATTAC Sarthe.
J'ai été Conseiller municipal d'un village en Sarthe de 1995 à 2001.
Arrivée à Coye en 1956 alors que j'étais petite fille, j'ai été quelques fois infidèle à mon village. La vie m'a souvent menée loin d'ici et principalement à Montpellier où ma fille a vu le jour. Je suis revenue depuis maintenant plus de 30 ans, bien décidée à ne plus repartir.
J'ai principalement travaillé comme secrétaire-comptable dans le milieu des chevaux, chez un propriétaire puis chez un entraîneur.
Si je n'ai pas vraiment choisi de travailler dans ce secteur, c'est en revanche par choix que j'ai décidé de ne plus subir les transports quotidiens et d'avoir le bonheur d'emprunter chaque matin le Chemin des Peupliers, à pied ou à vélo pour aller au bureau (je n'ai rien d'une citadine).
Je participe pleinement à la vie des Coyens au sein de diverses associations et mon vœu est de participer plus encore en prenant une part active à la vie de notre village et en aidant ceux qui ont besoin de nous.
C’est en 1996 que nous sommes tombés amoureux du village de Coye-la-Forêt ma femme et mes quatre garçons. Le contact a été rapide car les enfants ont créé le lien, et je dois dire que l’une des premières personnes à nous ouvrir sa porte fut Alain Mariage. C’est tout naturellement que nous sous sommes retrouvés autour des valeurs de justice et de respect de la différence. C’est pourquoi je me suis engagé sur la liste « Ensemble pour Coye ». Mon parcours professionnel de cadre de la fonction publique territoriale m’a amené à développer une école des sports dans une ville de 40 000 habitants pour un public de 18 mois à plus de 80 ans. Sport éducatif, loisirs, santé ou compétition ainsi que le travail en liaison avec le tissu associatif y étaient à l’ordre du jour. Je suis secrétaire général du Réseau des Directeurs des Sports du 93. J’ai pratiqué le judo à haut niveau ce qui m’a appris le sens de l’effort et de la persévérance. Les compétitions internationales auxquelles j’ai participé ont été l’occasion d’échanges très riches avec des jeunes d’autres pays et je souhaite pouvoir à mon tour aider des jeunes à se réaliser dans cette même opportunité. Enfin, j’aimerais également engager un travail en concertation avec les associations qui ne sont pas du tout reconnues à leur juste valeur à l’heure actuelle au village.
46 ans, mariée, deux enfants (12 et 8 ans), issue d'une grande famille, mes parents originaires de Bretagne sont venus s'installer dans la région parisienne pour leur travail, j'ai vécu dans une grande Ville Nouvelle toute mon enfance. En ville, la vie des quartiers ressemble un peu à celle des villages ; malgré leur grandeur, la mixité et la solidarité y sont présentes, les jeunes et les aînés se parlent, se rencontrent, partagent les mêmes lieux et échangent. Lorsque je suis venue m'installer à Coye-la-Forêt, j'ai quitté cet horizon urbain pour, à mon tour, m'installer loin des quartiers et me retrouver dans un petit village de Picardie, Coye-la-Forêt ? Très attirée par ce charmant village, dans un environnement verdoyant et apaisant, pour vivre avec ma famille et profiter pleinement de la vie. A mon arrivée, j'ai commencé à m'investir dans un groupe de parents « les parents indépendants » à l'école du Centre pendant deux années, j'ai eu la joie de connaître et rencontrer des parents, des enfants, des enseignants. Dans cet élan et avec l'envie de chacun, nous avons pu monter ensemble des projets très marquants dans la vie des enfants : une grande fête d'école où chacun a pu s'associer et s'amuser. J'ai rejoint cette année la liste « Ensemble pour Coye dans une dynamique de gauche », afin de développer avec cette nouvelle équipe de nombreux projets qui correspondent à mes idées et qui pourront donner un nouvel élan à notre village. Un village plus dynamique, permettant à chacun de s'épanouir, de s'exprimer, une politique beaucoup plus transparente qu'à l'heure actuelle. Je souhaite que tous les Coyens, les aînés, les familles et les jeunes puissent exprimer leurs besoins, leurs attentes pour se sentir bien dans leur cadre de vie, qu'ils soient consultés et surtout informés des enjeux de la vie municipale sur leur quotidien, qu'il y ait un véritable dialogue entre tous les acteurs du village. Et que la municipalité soit à l'écoute de tous. Développer l'activité économique du village, faire que la vie associative et culturelle soit à la portée de tous, cibler les projets, réfléchir à une réforme des rythmes scolaires en pensant avant tout au bien-être des enfants, aider et permettre à ceux qui ont de réels besoins de vivre plus sereinement, faciliter la vie des actifs face aux contraintes quotidiennes, donner à tous les mêmes possibilités de vivre heureux dans ce cadre privilégié que constitue notre village de Coye-la-Forêt . C?est ensemble que nous pourrons construire de belles idées et de nouveaux projets, alors votez le 23 et 30 mars prochains, ne vous abstenez pas !
55 ans, Originaire de Franche-Comté, je me suis installé à Coye-la-Forêt il y a vingt ans.
Nageur de niveau national dans les catégories jeunes je suis devenu comédien après avoir obtenu une licence de droit et d'histoire à l'université de Besançon.
Ce très vif intérêt pour la justice et la mémoire ont largement contribué à mon engagement auprès d'Alain Mariage dont j'apprécie les qualités humaines et d'ouverture à autrui.
Mes activités théâtrales m'ont aussi conduit à intervenir dans le secteur éducatif et social. Eprouve un grand plaisir à animer des ateliers adolescents
et adultes du Théâtre de la Lucarne dirigé par Claude Domenech.
J'habite Coye-la-forêt depuis 39 ans. J'aime sa forêt pleine de richesses en toutes saisons et l'esprit village que la commune arrive encore à garder.
J'ai fait ma scolarité à l'école des bruyères où j'ai pu découvrir le théâtre grâce aux interventions de la Lucarne. Quelques années plus tard, j'ai le bonheur de pouvoir animer des ateliers théâtre au sein de cette association.
Pendant mes études, j'ai été animatrice et présidente de l'association SOS+ du temps du "local jeunes".
Je suis devenue professeur des écoles et j'enseigne en maternelle.
Aujourd'hui maman de deux petits garçons, je suis représentante des parents d'élèves au sein de Coye Ecoles.
Consciente d'élever mes enfants dans des conditions privilégiées, je porte cependant un grand d'intérêt au sort que l'on veut bien réserver au bien-être de tous les enfants de la commune notamment avec l'organisation des rythmes scolaires.
Je souhaite une équipe municipale à l'écoute, accessible et réservant les moyens nécessaires à des actions rapides et efficaces auprès des personnes en difficultés et pouvant garantir l'accès à tous les enfants à l'association de leur choix sans barrière financière
50 ans, né à Chantilly, marié 2 enfants.
Je suis technicien d’exploitation informatique au sein d’une compagnie financière.
Mes parents, mes enfants et moi avons fait nos primaires à l’Ecole du Centre, donc Coyens depuis toujours…
J’ai vu mon village changer, et ne souhaite pas la photo nostalgique de mon enfance figée à jamais…
Mais le voir vivre, que son avenir soit florissant, et que le Progrès Social y ait sa place.
C’est pourquoi j’ai voulu participer à la liste "Ensemble pour Coye-la-Forêt, dans une Dynamique de Gauche" menée par Alain Mariage.
Depuis plus de 50 ans, Coye présente le grand avantage d’avoir une population hétéroclite et son évolution doit continuer dans ce sens.
Pour se faire il est indispensable de construire ou rénover un habitat mixte (maisons individuelles, maisons de ville, et collectifs à loyers modérés).
Coye a toujours été dynamique culturellement, riche en associations, et ce depuis longtemps, j’ai souvenir que les Villes/Villages alentour nous enviaient le Ciné-Club, la Troupe Théâtrale (ma mère a pris grand plaisir à y jouer, mon fils y a participé à son tour), chorale, et associations sportives menées par des passionnés sans moyens.
Les "vagues" successives de nouvelles populations, d’horizons divers, avec des idées neuves ont participé au soutien et à l’essor associatif.
Cependant les Coyennes et Coyens, notamment les jeunes, ne se rencontrent ou ne partagent pas assez car certaines activités sportives et culturelles sont inaccessibles aux familles à revenus modestes.
Qu’y a-t-il de plus frustrant pour un enfant ou un adolescent de répondre à un camarade de classe "J’aimerais bien faire du théâtre avec toi, mais c’est trop cher"
55 ans, 2 enfants – depuis 10 ans à Coye – activité professionnelle sur Paris.
Les sujets qui me tiennent à cœur :
- tout d’abord : placer les Coyens au cœur des projets municipaux
- améliorer la qualité de vie, l’accessibilité, la mobilité, la circulation, le partage de l’espace urbain entre voitures et piétons (les plans de circulation dans Coye-forêt peuvent surprendre. A défaut d’être opérationnels, ils délient bien les langues…
- créer du lien et développer le « vivre ensemble »
- intervenir et suivre les projets au sein de la communauté de communes dont l’importance ira croissante (avec en plus, l’entrée de nouvelles communes).
La communauté de communes a pour objet d' «associer des communes au sein d'un espace de solidarité, en vue de l'élaboration d'un projet commun de développement et d'aménagement de l'espace. »
Je pense en particulier aux transports en commun bien peu déployés sur notre territoire, à l’environnement et aux atermoiements avec la redevance incitative - une véritable arlésienne ! - dont on nous parle depuis maintenant trois ans, en nous faisant déverser les déchets d’un conteneur à l’autre….
Je pense également à l’habitat et au logement : où en sont les réflexions et les études ?
Brefs, des dossiers où la notion de solidarité devrait normalement trouver toute sa dimension.
J’ai 55 ans, je suis ingénieur d’exploitation informatique dans une société d’assurances dans le quartier de Stade de France Saint-Denis.
Chaque jour, depuis onze ans, je suis émerveillé de la chance que nous avons, mon épouse et nos deux enfants de 20 et 23 ans, de vivre à Coye-la-Forêt.
Bien sûr, les choses évoluent, la crise économique nous a tous plus ou moins touchés, et ce n’est malheureusement pas encore fini.
« S’ouvrir au monde, être performant », ces leitmotivs nous sont assénés chaque jour …
Je propose que nous commencions chez nous, à Coye-la-Forêt.
Pour que chaque habitant de notre cité puisse se sentir pleinement coyen et heureux de l’être, nous devons permettre à chacun de mieux appréhender la vie de la commune, partager et mieux répartir, écouter et entendre.
Ce sont ces valeurs que porte la liste « Ensemble pour Coye la Forêt dans une dynamique de gauche » et que je partage.
51 ans, Coyenne le week-end depuis ma naissance grâce à mes grands parents, immigrés juifs polonais arrivés en 1925 à Paris. Dans leur malheur, ils ont eu la chance grâce à leur travail et à la conjoncture de l'époque, d'être partis de rien et de pouvoir s'offrir leur première maison à Coye dans les années 1930; la solidarité coyenne leur a permis de retrouver leurs meubles après la guerre. Très engagés politiquement à gauche, ils ont toujours milité activement.
Mes parents ont repris la maison et y ont résidé pendant plus de 20 ans.
A mon tour, j'ai rejoint le village depuis deux ans et demi avec ma petite famille. Mon mari a implanté sa société à Coye-la-Forêt. Nous avons un fils en première au lycée de Chantilly et l'aîné a intégré une école d'ingénieur à Grenoble.
Né le 05/10/1967 à Epernay (51), marié et père de deux enfants.
Cadre dans Bâtiment et les Travaux Publics, activement engagé dans la vie syndicale de l’entreprise.
Coyen d’adoption depuis 2011, je rejoins la liste « Ensemble pour Coye la Forêt » afin d’accompagner sa politique ambitieuse, sociale, empreinte d'humanisme et résolument tournée vers l'avenir.
65 ans, économiste, retraitée depuis 2009.
Je suis née à Paris, mais j’habite dans la région de Chantilly depuis ma petite enfance. J’ai choisi d’habiter à Coye-la-Forêt il y a une trentaine d’années en raison de la proximité des dessertes ferroviaires vers Paris où je travaillais… et de celle de la forêt avec les terrains d’entraînement de chevaux de courses où je sévissais alors.
J’ai exercé dans plusieurs bureaux d’études et cabinets de conseil, puis au Centre d’études et de Recherche sur l’emploi et les qualifications (CEREQ) où j’ai travaillé avec les branches professionnelles, les ministères et le Centre d’analyse stratégique (CAS) pour développer des travaux prospectifs autour de l’emploi et des besoins en formation.
Depuis que je suis retraitée, je participe bénévolement aux activités de plusieurs associations, dont celles du blog coye29.com. J’aime Coye-la-Forêt, son site exceptionnel et la diversité de ses habitants.
Je souhaite que tous les Coyens puissent pleinement bénéficier de ces atouts, les jeunes comme les moins jeunes, avec notamment un meilleur accès aux activités sportives et culturelles, plus de solidarité dans la vie quotidienne comme dans la gestion des affaires communales.
Je veux que les décisions prises au niveau de la commune, comme au niveau de la communauté de communes, soient équitables pour tous.
Ce n’est pas le cas aujourd’hui de la future redevance incitative d’enlèvement des ordures ménagères, toujours reportée car impraticable sauf à demander à la moitié des habitants de payer significativement plus, jusqu’à 4 fois plus pour les familles qui habitent les logements les plus modestes, même si elles trient mieux leurs déchets, car la part fixe de la redevance est exorbitante et risque fort de conduire à de nombreuses situation d’insolvabilité. Il y a d’autres solutions que nous rappellerons à la CCAC.
J'ai 27 ans, actuellement chargé de mission au Conseil Régional d'Île-de-France sur les politiques de soutien à l'innovation.
J'ai la chance d'habiter Coye-la-Forêt depuis toujours, hormis une période à Lille pour finir mes études. J'y suis donc viscéralement attaché et c'est dans cette mesure que je m'engage aujourd'hui sur la liste Ensemble pour Coye-la-Forêt Dans une Dynamique de Gauche, en cohérence avec mes opinions politiques.
La proximité de Paris mais aussi des autres grandes villes françaises et européennes via Roissy, le cadre vert et détendu, la richesse de son offre culturelle et associative font de ma ville un havre de tranquillité et de possibilités d'évasion pour le travailleur parisien que je suis.
C'est pour renforcer ces derniers aspects, mais aussi pour contribuer à une ouverture plus grande au niveau social et économique que je m'engage aux côtés d'Alain Mariage, afin de faire de l'objectif d'une meilleure solidarité communale une réalité.
Un demi-siècle, éducatrice de jeunes enfants, responsable d’une structure associative à Orry-la-ville, accueillant des enfants de 3 mois à l’âge de la scolarité.
Mariée et mère de trois enfants, ex parisienne, j’habite à Coye-la-Forêt depuis vingt-deux ans.
J’ai exercé la profession d’animatrice culturelle puis d’intervenante musicale pendant quinze ans, dans différentes écoles de musiques, maternelles et élémentaires de l’Oise.
Baignée depuis l’enfance dans un univers artistique, j’ai rejoint par l’intermédiaire de mes enfants la vie associative et culturelle de Coye-la-Forêt.
Sensible à l’éducation, à la différence, mais aussi à la nature, j’habite un chalet respectant l’environnement privilégié de notre ville arborée.
J’ai choisi de rejoindre et de soutenir la liste d’Alain, pour ses valeurs de gauche.
Pour que la vie à Coye-la-Forêt soit douce et dans un cadre naturel ; qu’elle soit riche de culture, respectueuse et ouverte à tous quels que soient les âges et les origines.
Benoit, 54 ans, ex PDG en recherche d'emploi, habite à Coye depuis vingt-trois ans avec mon épouse Isabelle. Père de trois enfants, nous avons choisi Coye afin d'y élever nos enfants dans un cadre bucolique, sans être coupés de Paris.
Depuis ils ont grandi et s'éloignent logiquement du foyer parental, mais gardent un lien fort avec Coye et leurs amis d'enfance.
J'ai choisi de rejoindre la liste de Gauche menée par Alain, mû par la volonté de défendre mes opinions, de prendre en main mon destin, de promouvoir le principe de subsidiarité et d'en finir avec le régime féodal qui gouverne aujourd'hui la communauté de communes.
C’est le désir d'améliorer notre quotidien, d'offrir une alternative basée sur la solidarité, l'égalité et la fraternité qui ont déclenché mon enrôlement. Les municipales sont l'occasion de discuter les choix politiques futurs, d'ouvrir d'autres perspectives, de choisir en toute transparence un budget plus économe, centré sur nos besoins réels, respectueux de notre cadre de vie, et s'inscrivant dans le respect de tous et toutes. J'ai un rêve, celui d'une commune qui dépenserait moins et mieux pour le bien collectif !
72 ans, présente à Coye-la-Forêt depuis 1948, que je ne quitterai jamais, (puisque après ma mort, je serai toujours là), tant j’aime le village et la forêt où je me sens chez moi. Ma vie est certes partagée entre Coye-la-Forêt et Paris, à cause de mes activités associatives et de mon travail à l’Hôpital Européen Georges Pompidou. En effet, j’ai toujours souhaité partager mon temps entre un travail professionnel et une activité, auprès des jeunes, d’animation et d’éducation à l’ouverture aux autres et au monde qui nous entoure pour être plus solidaires les uns des autres.
Actuellement, je suis bénévole dans une Association de Solidarité Internationale, car « la terre est notre maison commune, et tous les hommes sont nos frères ». Mon enthousiasme, mon dynamisme et mon désir de lutter pour plus de justice, m’ont conduite à m’investir également à Coye-la-Forêt dans la vie communale, pour vivre au quotidien ces mêmes valeurs d’écoute, de respect, de solidarité et d’équité auprès de tous ceux que je rencontre dans le village.
Partageant depuis toujours les valeurs de la gauche, d’humanité et de fraternité, j’ai rejoint naturellement l’équipe d’Alain, tête de liste « Ensemble pour Coye-la-Forêt dans une dynamique de Gauche », qui est à l’écoute des citoyens qui ont des idées, pour améliorer la situation de ceux qui peinent à vivre, parce qu’ils n’en ont pas les moyens, en sachant que cela ne retirera rien à ceux qui ont déjà beaucoup, mais que cela permettra à Coye-la-Forêt d’être un village attachant et accueillant à tous, où nous serons heureux de vivre.
Depuis 20 ans à Coye-la-Forêt, j'y ai vu grandir les derniers de mes cinq enfants. 64 ans, médecin de famille depuis 1978, malade depuis 2008, je suis retraité et profite maintenant pleinement de mon village. Je suis fier d'être coyen, non pas tant parce que les rues tranquilles gardent une certaine élégance mêlée d'humilité, mais surtout parce que les gens s'y disent encore bonjour quand ils s'y croisent.
Pour que la ségrégation sociale ne divise pas nos habitants entre les gens aisés et ceux qui rament pour vivre, entre les étrangers et ceux qui ont peur du noir, entre les enfants des pauvres gens et ceux qui s'enferment dans les écrans dorés des familles bourgeoises, entre les bonshommes peinards et leurs femmes qui bossent... COYE-LA-FORÊT a besoin d'une DYNAMIQUE DE GAUCHE.
J'ai rejoint l'équipe d'ALAIN MARIAGE pour appuyer sa réflexion et son combat, et pour témoigner du souci d'honnêteté et de hauteur d'esprit qui l'anime.
Je suis retraitée depuis douze ans après avoir enseigné la langue française avec bonheur. Installée avec mari et deux enfants à Coye-la-Forêt depuis 1978, j’ai exercé depuis cette date au collège Bon Secours de Senlis (collège laïc).
Si j'ai choisi d’habiter à Coye, c'est parce qu'il y avait une bibliothèque, une troupe de théâtre, beaucoup d'associations... et la forêt à ma porte. Je n'ai pas regretté mon choix et je me suis investie dans la vie locale, d'abord dans une association de parents d'élèves, la FCPE, puis comme conseillère municipale pendant sept ans au sein de la liste de gauche menée par Dominique Ternaux.
Claude Domenech et le Théâtre de la Lucarne m'ont donné la passion du théâtre.
Avec Claude, j'ai participé au lancement du Festival de théâtre en 1981et fait partie pendant quatorze ans de cette magnifique aventure qui dure encore.
Depuis ma retraite, je m'investis comme bénévole, dans le soutien scolaire et, avec l'association SOS+, dans l'accompagnement des personnes âgées vers des rendez-vous médicaux. Avec deux amis, je fais vivre depuis six ans le blog coye29.com qui a été créé pour rendre compte de la vie de la commune, être un lieu où l'on peut émettre une opinion et discuter. J'ai conscience de vivre à Coye dans un environnement privilégié, d'avoir eu le privilège de vivre ma jeunesse à une époque où le chômage n'existait pas, et de bénéficier d'une retraite satisfaisante après quarante ans de travail. Cette époque n'est plus et je suis donc très sensible aux difficultés maintenant rencontrées par un grand nombre. Je souhaiterais donc qu'une municipalité ait dans ses objectifs premiers, non pas d'améliorer le confort de ceux qui ont déjà beaucoup, mais de veiller à rendre plus légère et acceptable la vie de ceux qui ont peu ou qui n'ont pas.
45 ans, marié et père de cinq enfants. J’habite à Coye la Foret depuis neuf ans avec mon épouse coyenne de souche.
J'ai vécu en Haute Normandie et dans trois communes de l' Ile de France. Je mesure chaque jour la qualité de notre cadre de vie.
J'apprécie la richesse des associations de Coye La foret, la proximité de l'école, la gare SNCF et la présence de commerces de proximité.
J’ai exercé la profession de directeur d'accueil collectif de mineurs (centre de loisirs ou de vacances..) pendant 18 ans. Depuis le début de ma carrière, je suis attaché à l'intégration des enfants porteur d'un handicap, moteur ou mental, au sein des établissements municipaux. Puis, j'ai eu le bonheur de créer et d'animer des Conseils Municipaux d'Enfants pendant 6 ans.
Actuellement Animateur Territorial à Conflans Ste Honorine, je coordonne des actions de sensibilisation en lien avec la Convention Internationale des Droits de l'Enfant (de 0 à 18 ans), en transversalité avec tous les acteurs de la ville et des partenaires (Défenseurs des droits, équipe éducative des écoles, des collèges et lycées, Enfance et partage, Unicef France).
De ce fait, je souhaite apporter et partager mon expérience pour tous les enfants du village, soutenir les familles pour améliorer la vie quotidienne de chacun. Je suis également sensible aussi à la sécurité et au bien-être dans notre ville et à la rénovation des bâtiments municipaux (isolation, diversification des énergies). Je suis particulièrement vigilant au respect du vivre ensemble et de l'environnement.
J’ai choisi de rejoindre Alain Mariage, parce que c'est un homme de valeur, qui connait bien les dossiers de la commune (gestion budgétaire) et de l'intercommunalité. C'est avec plaisir et conviction que j'ai rejoint sa liste.
Une équipe de citoyens qui travaillent dans la proximité, de façon à apporter des réponses efficaces à tous les Coyennes et Coyens du plus jeune au plus âgé.
J'ai 65 ans, retraitée, une première vie d'employée de banque à Paris, habitant Coye-la-Forêt depuis 36 ans.
J'ai toujours été active syndicalement dans mon entreprise, et à la FCPE lorsque mes enfants étaient scolarisés, et naturellement je m'intéresse à la vie dans ma commune à laquelle je suis très attachée.
Je rejoins la liste d'Alain Mariage pour une politique plus solidaire, transparente, pour le bonheur et la vie en harmonie avec toutes les générations des Coyens et Coyennes.
28 ans, né à Besançon, j’ai fréquenté l'école de Coye-la-Forêt et le collège de Lamorlaye. Titulaire d'un DUT à Saint Denis, j’obtiens un diplôme d'ingénieur à l'ESIREM de Dijon. Je suis responsable du pôle tuyauterie/soudage à Alstom Courneuve.
Très attaché aux valeurs sociales et de solidarité, j’estime qu'il est important de développer un réseau d'activités culturelles et sportives auxquelles j’ai participé. Je souhaite mettre mes compétences et mes connaissances au service de mon village.
J'ai 49 ans et suis avec joie Coyenne depuis juillet 1997. Deux garçons de 13 et 19 ans qui ont fréquenté la si attachante école des Bruyères remplissent bien ma vie ; je suis aussi fonctionnaire territoriale depuis 1992. Après m'être frottée aux marchés publics dans un office d'HLM, j'ai choisi de me rapprocher de l'intérêt des administrés en intégrant une mairie proche. Je m'y suis occupée du conseil municipal et des commissions, avant de prendre en charge l'administration générale (conseil, commissions, état-civil, cimetières..) puis, depuis 2009, j'ai contribué à la création d'un service chargé des questions de salubrité de l'habitat, d'accessibilité et de sécurité des établissements recevant du public et du handicap.
J'ai choisi de m'installer à Coye-la-Forêt car cette commune dans un cadre verdoyant m'apporte ainsi qu'à ma famille une ville à la campagne et vice-versa. Membre d'une association de parents d'élèves pendant plusieurs années, j'ai apporté ma modeste contribution à l’épanouissement de nos petits bouchons.
J'aime m'occuper de ma maison, lire, voyager pour aller à la rencontre des autres. Mon intérêt est porté principalement sur le mieux-vivre ensemble en préservant le cadre privilégié dans lequel nous vivons, élargi à la communauté de communes dont nous faisons partie.
ouvrier du livre, imprimeur de luxe, cuisinier-voyageur. A l'aube quand je partais à l'usine, j'avais toujours mon livre. Je sentais son poids dans ma main.
Ma famille, depuis le début du XX° siècle, était de gauche. Grand-père, hussard noir de la République, se bat pour la loi de 1905, pour Dreyfus, pour la laïcité. Dans les années 30, toute la famille s’engage dans la IV° Internationale. Rien à voir avec le trotskysme actuel ! J’ai toujours voté à gauche. Sauf une fois, pour Chirac contre Le Pen. Depuis quarante ans à Coye, je suis compagnon de route de Claude Domenech, sauf ces dix dernières années pour raison de santé. A 40 ans, je me retrouve seule. Aucun diplôme et dix ans de petits boulots, puis de bons boulots. Finalement, pour une société de vente à domicile, je deviens directrice de vente à domicile pour le Nord de la France. Au départ, 16 vendeuses. Un an plus tard, 120. Un turn-over important. Donc je recrute, j’engage, je forme à la vente et surtout je me rends compte que je suis utile à des femmes de tous milieux. Elles sortent de chez elles deux ou trois fois par semaine et se découvrent, tout en gagnant un appoint à leur budget. Elles s’ouvrent, peu ou prou, à une vie autre. Certaines en ont fait leur vrai métier. Après 14 ans, j’ai pris ma retraite. Là, j’entrai dans diverses associations culturelles ou ONG. Puis, il y a six ans, cancer ! Autre aventure ! Opération, chimio, réopération un an après. Eh bien, ce fut extraordinaire. Même pas peur ! J’en ai parlé partout. Dans mes associations, chez Champion, à mes amis, à des inconnus… A ma connaissance, trois personnes furent opérées à temps, évitant la chimio. Le bouche à oreille continue encore. Et je rappelle toujours que c’est grâce à la gauche que la Sécurité Sociale fut créée.
J’ai 66 ans et habite à Coye-la-Forêt depuis 1977. Avec Annie, mon épouse, nous avons choisi Coye pour échapper à la vie parisienne et offrir à notre fils un cadre de vie plus agréable. Dès mon arrivée, je me suis largement impliqué dans la vie communale et associative et, tête de la liste de gauche “Agir autrement”, fus élu conseiller municipal en 1989. Si mes activités professionnelles m’ont contraint, suite à cette période, à ne pas briguer de nouveaux mandats (j’ai terminé ma carrière comme directeur du développement en Chine pour le compte d’une grande entreprise française) j’ai continué à participer à l’animation et au rayonnement de la commune. Aujourd’hui retraité, je peux à nouveau profiter de cet environnement privilégié que nous offre Coye-la-Forêt et contribuer à ce qu’il perdure dans un esprit de solidarité et d’équité que j’ai toujours eu à cœur de défendre.
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7 commentaires
Commentaire de: yann Visiteur
Commentaire de: Szpirglas Visiteur
Bonjour Yann! Les Shadoks de gauche font souvent des erreurs comme les Shadoks de droite, et même comme ceux du milieu… mais les Shadoks de droite sont plus près de l’extrême droite, et pour l’instant les Shadoks de gauche voudraient que le legg Delvigne profite intégralement aux Shadoks qui rament et non pas à ceux qui pompent. Tu vois que la planète morale est encore légèrement divisée et bancale!
Antoine.
Commentaire de: yann Visiteur
La moralité n’est pas plus une valeur de gauche que de droite, l’actualité récente (sans remonter à 1981 sous l’ère Mitterrandienne) le démontre.
Le PS a quand même comme premier secrétaire un personnage qui a toujours vécu aux crochets de la société et a été condamné pour abus de biens sociaux. Le gouvernement est dirigé par un premier ministre qui a été condamné pour délit d’octroi d’avantage injustifié (délit de favoritisme). Je passe sur la moralité de certains ministres qui ont du démissionner et sur le Président de la République qui n’aime pas les riches, mais fait tout ce qu’il peut pour vivre comme et avec eux et qui est très “border line” au niveau de ses déclarations fiscales et de patrimoine.
On pourrait faire un copié/collé avec des personnalités de droite.
Il faut arrêter avec les gentils de gauche contre les méchants de droite.
Les extrémistes de quelque bord ou confession qu’ils soient sont dangereux, nous sommes d’accord.
Nous n’en sommes pas là à Coye la Forêt ? Si ?
Le legg Delvigne fait l’objet de deux articles très instructifs sur ce blog.
Si tu souhaites connaître mon avis sur la question, en fonction de ce qui est écrit dans ces deux articles, je trouve effectivement le procédé scandaleux.
Maintenant ce qui m’intéresse au-delà des mots et des grandes intentions un peu creuses, ce sont des chiffres.
Quels projets pour quels coûts avec quels financements ?
Vous savez que la fiscalité locale va évoluer dans un sens peu favorable aux contribuables, quelle est votre position sur cette fiscalité ?
Allez vous vous situer dans la fourchette haute ?
Echangeons sur des projets, sur l’avenir, sur vos propositions.
Donnez nous envie.
Je veux bien vous soutenir et voter pour votre liste mais pas sur 6 propositions plus ou moins consensuelles si vagues qu’elles n’engagent à pas grand chose et ne m’informent aucunement sur des projets réfléchis.
Merci.
Commentaire de: Marie Louise Membre
Si j’étais un citoyen Candide et inexpérimenté, si je ne savais comment choisir entre les shadocks de gauche et les shadocks de droite, si je trouvais leurs idées vagues et consensuelles,donc sans grand intérêt, je crois bien que mon choix se porterait sur la liste capable de restituer un don de 600 000 euros à ceux qui en sont les bénéficiaires désignés et qui jusqu’alors en ont été privés. Ce serait pour moi un bon critère de choix.
Commentaire de: Pierre Visiteur
Bonjour
Sur votre dernier tract, au sujet de votre programme, qu’entendez vous par “continuer la construction de nouveaux logements au chardonneret” ? Avez vous des projets en tête ?
Merci
Pierre
Commentaire de: Alain Mariage Visiteur
Bonjour,
Le projet dont nous faisons mention est celui déjà en cours derrière le Presbytère et que nous soutenons depuis son lancement.
Nous n’avons pas d’autre projet en vue.
Espérant avoir répondu à votre interrogation,
Cordialement,
Commentaire de: kauffmann Nathalie Visiteur
Bonjour,
A l’aube des élections je vous remercie pour cette présentation exhaustive.
Comme Yann, j’aimerai avoir un développement plus détaillé des différentes propositions .
Que reste-t-il après le remboursement des emprunts sur le budget d’investissement de la commune ?
En vous remerciant
Cordialement
Nathalie
Tout d’abord merci pour vos présentations et votre implication dans la vie collective.
Contrairement à vous je trouve inutile et contreproductif l’introduction dans les élections communales d’étiquettes politiques.
D’une part parce qu’elles ne signifient plus grand chose aujourd’hui (il suffit de voir l’(in)"action” de la majorité nationale actuelle et la pantalonnade jouée par l’actuel Président de la République) et d’autre part car il y a des gens efficaces, honnêtes et remarquables dans tous les partis politiques et que les personnes sont plus importantes que les étiquettes politiques.
Je trouve dommageable pour la vie locale, cette tendance en France de vouloir sanctionner le pouvoir en place en votant contre un parti politique plutôt que pour des personnes compétentes.
Le vieux débat “gauche / droite” est bien dépassé, vouloir porter le débat sur ces clivages archaïques dénote quand même d’une forme de pensée manquant de vision d’avenir.
Ce qui compte aujourd’hui s’est d’agir, si possible avec une vision à long terme pour l’intérêt commun et pour l’avenir des générations présentes et futures. C’est de réfléchir à de vraies solutions pour sortir notre économie de l’ornière dans laquelle elle se trouve. C’est de mettre en place un cycle d’éducation efficace et utile. C’est de renouveler la classe politique qui a fait son temps, de limiter le cumul et le nombre de renouvellement des mandats électifs, de sortir des clivages gauche /droite qui n’ont pas de sens.
Quand je lis dans certaines présentations les oppositions faites entre les « gens aisés et ceux qui rament » et autres clichés je me dis que nous sommes bien loin d’avancer la bonne direction.
Ce genre d’images ne devrait plus avoir sa place aujourd’hui dans programmes électoraux. Vouloir sans cesse opposer les gens plutôt que de les rassembler est contre productif. Vouloir faire toujours porter la misère sociale sur ceux qualifiés de nantis est un raccourci simpliste qui fait de moins en moins recette.
La « gauche » n’a pas le monopole du social et de la solidarité. Elle n’est pas un exemple en terme d’écoute, de démocratie et d’ouverture.
Les français évoluent et ne sont plus demandeurs d’un état providence qui encourage l’assistanat.
De plus en plus les gens prennent la mesure de la réalité économique et de la distorsion qui existe entre les politiques et le peuple.
Vous écrivez que vous ne vous engagez pas dans une campagne démagogique, pourtant vos 6 propositions ouvrent une large part à la démagogie.
1 : Dynamiser la vie locale :
Renforcer le commerce de proximité : comment ? Avec quels moyens ? Comptez-vous changer les habitudes de consommations des coyens ?
Développer les rencontres solidaires et intergérationnelles ! Ca claque ! Mais concrètement ça signifie quoi ?
Aider l’activité économique : De quelle manière ? En stigmatisant les « gens aisés », les petits patrons, les investisseurs ?
Développer le tourisme : Comment ? Avec quels moyens ? Quels objectifs ?
2 Gérer et associer de façon transparente :
C’est sans doute une bonne idée, mais combien de personnes assistent au conseil municipal ?
Combien de personnes sont prêtes à s’investir sérieusement dans des actions collectives ?
3 Rénover notre espace urbain
Il faudrait aussi apprendre à le préserver
4 Agir et partager au sein de la communauté de communes :
Entre le désengagement de l’état dans le financement des communes et l’ajout de différentes couches décisionnelles qui génèrent plus de coûts que d’avantages pour le contribuable, vous comptez financer comment tous vos projets de création alors que l’entretien de l’existant est souvent mal ou pas fait faute de budget suffisant.
5 Des priorités pour l’enfance
On parle beaucoup dans les médias et les programmes politiques de droits et assez peu des devoirs.
Cantine a coût modéré et progression vers le biologique. Coût modéré et produits bio font rarement bon ménage.
6 Préserver notre environnement
La encore ça tient plus de l’éducation et du civisme.
Je serais assez intéressé de connaître les coûts de vos différents projets, les recettes sur lesquelles vous comptez pour les financer. Les économies que vous comptez générer sur certains budgets.
Vos positions sur la fiscalité locale. Comment comptez-vous répartir les charges toujours plus importantes qui pèsent sur l’économie locale ?
Après les mots les chiffres. Nous attendons du concret, pas des mirages.