Bonnets rouges et Chapeaux ronds
Pour fêter Noël, l'Association des Parents d'Eleves Indépendants de Coye-la-forêt (APEIC) proposait ce samedi 13 décembre, à partir de 14h00, sur la place de la mairie spécialement aménagée pour l'occasion, un programme riche en animations pour les enfants.
Ni la pluie ni le vent d’hiver n’ont empêché petits et grands de se retrouver place de la mairie, samedi 13 décembre, pour fêter Noël. Avec le concours de la municipalité et des commerçants, l’Association des Parents d’Elèves Indépendants de Coye-la-Forêt (APEIC) avait vu grand ce jour-là : ateliers et spectacle pour les enfants, lâcher de ballons avec lettre au Père Noël, balade en calèche avec les attelages de Coye, Danses bretonnes avec les musiciens d’ En Ar Vro, concours de dessins, Grande tombola et vin chaud offert par la municipalité. Etait-ce la "trêve des confiseurs"?
Ni la pluie ni le vent d’hiver n’ont empêché petits et grands de se retrouver place de la mairie, samedi 13 décembre, pour fêter Noël. Avec le concours de la municipalité et des commerçants, l’Association des Parents d’Elèves Indépendants de Coye-la-Forêt (APEIC) avait vu grand ce jour-là : ateliers et spectacle pour les enfants, lâcher de ballons avec lettre au Père Noël, balade en calèche avec les attelages de Coye, Danses bretonnes avec les musiciens d’ En Ar Vro, concours de dessins, Grande tombola et vin chaud offert par la municipalité. Etait-ce la "trêve des confiseurs"?
Arrivé en retard sur les lieux déserts, comme je faisais mon chemin vers là où il y avait à boire, ne souhaitant rien d’autre qu’un café ou un chocolat chaud, cela va sans dire, je fus gentiment prévenu par les organisateurs des festivités, tous coiffés pour l’événement d’un bonnet rouge aux lumières clignotantes, que le grand spectacle de Carabistouilles se jouait actuellement sous le préau de l’Ecole du Centre. De toute évidence, l’ambiance était à l’intérieur de l’école et j’avais loupé le début de la pièce; ce qui était impardonnable aux yeux de l’enfant de huit ans que j’étais censé accompagner pour y assister. La divine providence se chargea heureusement de détourner le regard inquisiteur de l’enfant sur une autre scène qui se jouait devant nous : l’arrivée du père Noël sur une calèche attelée à de deux chevaux, percherons me semble-t-il. Moment magique et inoubliable pour les deux ou trois retardataires qui ont eu le privilège de recevoir du Père Noël les premières recommandations de sagesse… et quelques bonbons en prime. Laissant là le Père Noël, nous nous précipitâmes alors vers le préau où, nous joignant au public, nous pûmes assister à la fin de la représentation… et à l’entrée très applaudie du Père Noël qui avait rejoint la scène par les coulisses.
Après la représentation, ce fut le moment du lâcher de ballons. Sur la place de la mairie, ballon à la main, tous attendaient le signal. Image toujours émouvante, les points de couleurs montèrent dans le ciel, suivis du regard ébahi de tous les enfants. Au bout des ficelles, des petites cartes… certaines ne reviendront sans doute jamais, comme ce ballon jaune échoué au petit pont quelques instants plus tard, mais d’autres seront peut-être retrouvées et recevront un petit mot.
Après une bonne crêpe, retour sous le préau sur le rythme enjoué des musiques bretonnes de l’association En Ar Vro. Pendant que les enfants se préparaient au concours de dessin, sur la piste improvisée, danses en forme de rondes, à petits pas ; danse en couple, « le bal de… », danse par quadrettes, « en avant deux »… Ma grand-mère bretonne qui connaissait bien ces danses folkloriques n’aurait pas manqué d’y prendre part, mais la technicité de telles danses a peut-être interdit au plus grand nombre de faire le premier pas.
Enfin la tombola, la grande tombola ! Choisi avec goût… de luxe, le premier prix offert par l’Apeic était une nuit pour deux au Château de Montvillargenne; le deuxième prix, offert par la municipalité, une console wii, etc. Qui ont été les heureux gagnants ? Je l’avoue honnêtement, attendu ailleurs, je n’ai pas pu rester jusqu’au bout… mais d’autres pourront toujours compléter ces quelques lignes et nous raconter la fin.
Avec cette journée, l’APEIC a vraiment réussi à mettre le mauvais temps entre parenthèses, elle a su créer un moment chaleureux et convivial dont les enfants garderont un excellent souvenir. On se gardera pour autant de parler comme certains d’une « trêve des confiseurs ». Malgré sa capacité à jouer le rôle d’un comité des fêtes, l’APEIC reste une association de parents d’élèves qui a encore des efforts à faire dans la qualité de ses relations avec les équipes pédagogiques des trois écoles. L'absence des enseignants à cette fête était trop manifeste pour que la réussite fût complète.
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