Posted by La rédaction on 04 Oct 2009 in publications, communication
Samedi 3 octobre, mobilisation contre la privatisation de La Poste à Creil.
Pour manifester leur attachement à La Poste, les Coyens ont dû aller jusqu'à Creil, car aucun autre bureau n'était ouvert dans le sud de l'Oise.
Sur le marché, des attroupements, pour les courses bien sûr, mais aussi pour l'avenir de La Poste. Deux bureaux de vote étaient installés, et il fallait bien cela pour faire face à l'affluence. Elus de Creil, représentants syndicaux, anonymes, beaucoup de monde était là pour répondre aux questions, en poser, discuter, contrôler la régularité du vote. Les bulletins s'accumulaient dans l'urne; dans une ambiance joyeuse chacun exprimait sa satisfaction d'agir pour un service public, la volonté de dire à ce gouvernement qu'il ne pourrait pas liquider La Poste - en faire une société anonyme - comme il l'avait fait de France Telecom avec le succès que l'on connaît.
La participation record à cette "votation" (deux millions de personnes en France, 830 à Creil) est bien la preuve que les Français sont attachés à leurs services publics, tout du moins à ceux qui leur restent.
Sur le marché, des attroupements, pour les courses bien sûr, mais aussi pour l'avenir de La Poste. Deux bureaux de vote étaient installés, et il fallait bien cela pour faire face à l'affluence. Elus de Creil, représentants syndicaux, anonymes, beaucoup de monde était là pour répondre aux questions, en poser, discuter, contrôler la régularité du vote. Les bulletins s'accumulaient dans l'urne; dans une ambiance joyeuse chacun exprimait sa satisfaction d'agir pour un service public, la volonté de dire à ce gouvernement qu'il ne pourrait pas liquider La Poste - en faire une société anonyme - comme il l'avait fait de France Telecom avec le succès que l'on connaît.
La participation record à cette "votation" (deux millions de personnes en France, 830 à Creil) est bien la preuve que les Français sont attachés à leurs services publics, tout du moins à ceux qui leur restent.































D'après Tolkien
à travers un monde imaginaire, son monde, rempli de créatures plus étranges les unes que les autres. Bilbo, interprété par Richard Navarro, va donc partir à l'aventure, accompagné de treize nains et du magicien Gandalf. Guidé par ces derniers, il parvient à trouver le dragon et le tue. Ce n'est cependant qu'à la fin de la pièce qu'il trouvera le « trésor » et décidera de le partager avec ses amis, en l'occurrence le public, sous la forme de bonbons.