De Pedro Calderon de la Barca
par le Théâtre de la Lucarne
Mise en scène : Claude Domenech
Un roi isole son fils que les augures destinent à être violent et sanguinaire s’il règne. Sacrifice quasi biblique. Voyant sa fin venir le roi lève cette sanction sous condition : le fils saura-t-il régner sans violence sous peine de retour dans la tour ?
L’homme est il prédestiné, sa vie est-elle écrite dans le ciel, les étoiles, ou ailleurs ? L’homme peut-il lire cette destinée, en modifier le cours par le rêve peut-être, ou n’est-il là, pantin, que pour en dérouler le texte ? Sa croyance aveugle en son dieu « destinée » ne le conduit-elle qu’à provoquer la réalisation de cet oracle ? Sa lecture des astres ne le conduit-elle qu’à se soumettre à une volonté extérieure statique, puissante, modulable selon sa lecture humaine du moment, lecture qu‘il se croit imposée par son destin ou qu’il s’impose ? L’homme a-t-il perdu son libre arbitre ?
Le roi aveuglé par la lecture des astres se soumet à leur dictature jusqu’à cette lueur de lucidité, début ou fin de son songe, qui le fera, pour défier le cours du temps, mettre en doute ce dieu tout puissant.






Samedi 21 avril, Coye-la-forêt a fêté le tricentenaire de la naissance de Jean-Jacques Rousseau. Pour commémorer l’événement et dans le cadre des manifestations soutenues par le Conseil général, Agnès Bouchard avait choisi une présentation intéressante et originale de l’auteur du Contrat social. Avec l’appui de la Médiathèque départementale et de Jean-Raphaël Rondereux – devenu un familier des « soirées de la bibliothèque » - la bibliothécaire de Coye-la-forêt a accueilli un hôte de marque, Ollivier Pourriol, agrégé de philosophie, romancier, essayiste et chroniqueur bien connu, pour traiter de la philosophie politique de Rousseau en l’illustrant d’extraits de films.


















Si les caméras de vidéosurveillance ne servent presque à rien et ne permettent que rarement d'identifier ou d'interpeller des suspects, elles n'en déportent pas moins la délinquance vers d'autres zones, non vidéosurveillées. Résultat : les habitants de ces zones non couvertes par les caméras développent un sentiment d'insécurité et… réclament des caméras.

